Six ans après son lancement, le dernier Mercedes Sprinter en date a évolué. Et, sans perdre ce qui fait sa force : une large gamme et un confort élevé. Véritable vaisseau amiral de la marque, le Sprinter s’acquiert presque les yeux fermés ou continue de faire rêver ! La grosse nouveauté depuis l’an dernier est bien sûr l’arrivée du e-Sprinter 100 % électrique.
Mais les versions thermiques ne sont pas oubliées loin de là, puisque de ce côté ça a évolué aussi. Le Mercedes Sprinter reste disponible en quatre versions de fourgon . Un fourgon court (appelé 37) à toit plat affichant un volume utile de 9 m3, ce même fourgon court (37) avec toit surélevé (10,5 m3), un fourgon long (43) avec empattement rallongé et toit surélevé offrant 14 m3 et, enfin, un fourgon long (43) avec porte-à-faux arrière rallongé et toit surélevé permettant de profiter d’un volume utile de 15,5 m3.
À cela s’ajoutent aussi des versions châssis simple ou double cabine sur les empattements 37 et 43. Le Sprinter diesel conserve le moteur 2.0 turbo de dernière génération qu’il a depuis un peu plus de trois ans. Ce moteur, dérivé de celui des automobiles et modifié pour répondre aux contraintes des utilitaires, est décliné en quatre niveaux de puissance : 114, 150, 170 et 190 ch. Chez Mercedes, il faut associer le chiffre correspondant au PTAC « 3 » pour les versions 3,2 et 3,5 t, « 4 » pour les versions 4,1 t et « 5 » pour les versions 5 t à la puissance du moteur (.11, .15, .17, .19) pour donner naissance aux appellations des modèles : 311, 415, 519, etc. Tous les Sprinter diesel reçoivent soit une boîte mécanique à six vitesses, soit l’excellente boîte auto à neuf rapports. Ajoutons que tout cela est aussi disponible avec une transmission intégrale.







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