Renault, c’est fini. L’Opel Movano est le clone de ses frères de groupe Jumper et Boxer, en toute logique industrielle. Un pur calque, au logo apposé sur la calandre près. Où l’on retrouve la cabine datée en comparaison avec ce qu’offre en la matière la concurrence plus récente (à commencer par le Renault Master, ex-matrice du Movano), les trois motorisations nourries au gazole exploitées par la BVM6 sans alternative possible (l’Opel Movano sur base Master avait droit à une transmission automatisée) et les charges utiles costaudes. Le point fort de ce véhicule dupliqué en trois exemplaires, dont aucune version n’est soumise à la norme Euro VI-E, on notera. Une exception, désormais, dans la catégorie des gros porteurs.
Où l’on retrouve, également, les modifications apportées aux offres des deux compères français. A commencer par la carrosserie L1H2 portée disparue. Suit le nombre de finitions réduit à deux, la livrée supérieure Pack Business Connect réunissant tous ce que le terme « Connect » suggère. Au résultat, Jumper, Boxer et Movano, donc, répartissent carrosseries, PTAC, motorisations et équipements de série de la même manière de bout en bout de leurs gammes respectives.
– Les +
Charges utiles costaudes
Moteurs réputés sobres
Nouvelle génération au printemps 2024
– Les –
Cabine datée
Pas de boîte automatique
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