Dans la foulée du reste de la gamme VUL, le Jumper s’offre un nouveau faciès. À l’intérieur, la planche de bord a subi un lifting sérieux pour offrir une ergonomie optimisée. Imaginez-vous au volant, entouré d’un combiné d’instruments digital, avec un grand écran central pour vous tenir compagnie. Les garnitures des portes et le volant sont également remis au goût du jour. En matière d’infodivertissement, le Jumper s’équipe d’un écran de 5 pouces pour les versions de base, 10 pouces sur haut de gamme en finition (beaucoup d’options). Chargeur de smartphone sans-fil, rétroviseur intérieur connecté à une caméra à l’arrière, direction assistée électrique qui se la joue automatique, frein de stationnement électrique, et même un accès et démarrage mains libres. Trois niveaux de puissance pour le moteur diesel, 120 chevaux, 140 chevaux et 180 chevaux, une offre électrique (e-Jumper) et Hydrogen. Deux empattements, trois longueurs et des volumes utiles de 10 à 17 m3. Châssis simple cabine, double cabine, le Jumper permet pas mal de configurations (L2H1, L2H2, L3H2, L3H3, L4H2, L4H3). Le Jumper est une valeur sûre du VUL, on pourra reprocher simplement une finition un peu triste en mode standard (les options – chères – permettent d’améliorer considérablement la vie à bord). En revanche, la large gamme de volumes et motorisations permet de trouver le VUL adapté à l’usage et aux besoins.

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